dimanche 15 juin 2008

I want to break free


I will arise and go now, and go to Innisfree,
And a small cabin build there, of clay and wattles made :
Nine bean-rows will I have there, a hive for the honey-bee,
And live alone in the bee-loud glade.

And I shall have some peace there, for peace comes dropping slow,
Dropping from the veils of the morning to where the cricket sings;
There midnight's all a glimmer, and noon a purple glow,
And evening full of the linnet's wings.

I will arise and go now, for always night and day
I hear lake water lapping with low sounds by the shore;
While I stand on the roadway, or on the pavements grey,
I hear it in the deep heart's core.

"The Lake Isle of Innisfree", W.B. Yeats, 1893.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

J'y vais ou j'y vais pas? Elle a l'air froide!

Anonyme a dit…

"De nos querelles avec les autres nous faisons de la rhétorique. De nos querelles avec nous mêmes, de la poésie".
Rapide échappée au royaume de W. Yeats et découverte des tableaux de son pôpa ...Petit bonheur du jour!
Merci!!

Anonyme a dit…

Il pleure dans mon cœur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon cœur ?
0 bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un cœur qui s'ennuie
0 le chant de la pluie !

Il pleure sans raison
Dans ce cœur qui écœure.
Quoi ! nulle trahison ? ...
Ce deuil est sans raison.
C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon cœur a tant de peine!

A splitch splatch day isn't it ?

Anonyme a dit…

Pour Anita, un grand merci avec retard mais quand le web ne fonctionne plus,le courriel attend!