Si j'oseraie...
Les prédécesseurs de Germinal avaient tenté de combler les rigoles dans la prairie humide... Ils n'avaient réussi qu'à créer de vagues creux herbus qui se retrouvaient de toute façon sous l'eau à la moindre pluie.
Depuis son arrivée en bord de Juine, d'abord conseillé par Joël Rouillé (voir ICI le site de l'homme qui ose), Germinal a osé l'osier, plante avide d'eau s'il en est !
Désormais, dans la prairie, on ne se tord plus les chevilles dans les anciennes rigoles ; en revanche, on y admire les osiers verts, bruns et rouges qui dansent dans le vent.
Désormais, dans la prairie, on ne se tord plus les chevilles dans les anciennes rigoles ; en revanche, on y admire les osiers verts, bruns et rouges qui dansent dans le vent.
La première année, on plante des boutures
(un jeu d'enfant !).
La seconde année, on rabat les boutures à vingt centimètres.
La troisième année, des cépées se forment déjà,
que l'on rabat sévèrement en fin d'hiver,
très sévèrement,
(oh oui, oh oui...)
afin de pouvoir planter d'autres boutures,
4 commentaires:
Là-bas, là-bas, dans le 2ème d'osier, la soucoupe volante de mon ami B. ! Un jour, tous les deux, on rendra visite à Mr SPOCK !
Quelle leçon de jardinage, et que de belles cabanes en perspective ! on imagine tout de suite que ce pourrait être un village entier pour les schtroumpfs ou les elfes de la Juine !
La prochaine étape : la fabrication de paniers légers. Non? Comment, non?
Très intéressant le site de Joël Rouillé.On apprend des tas de choses.Mais le compteur de visiteurs est désespérement bloqué à 00000!
Merci à Germinal de nous enchanter avec ses jolies photos.
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