Les Cigales et la fourmi
Saluons la fin des tulipes botaniques, qui comme des vierges folles rimbaldiennes se sont dépensées sans compter tout au long de ces semaines d'avant-goût de canicule !
La lumière de ce printemps du vingt et unième siècle a offert d'intéressants points de vue au jardinier dyonisiaque, lui rappelant l'époque lointaine où il pouvait impunément regarder sous les jupes des filles :
Mais n'oublions pas cette fille de l'ombre, Asperula taurina, qui sous ses airs graciles, cache une efficacité de bulldozer : au pied d'une viorne, couvre sol total en une seule année !
Et elle, elle est partie pour tenir jusqu'à l'automne, fidèle au poste même après sa floraison. Encore une fois, le jardin prouve à Germinal qu'il faut de tout pour faire un monde... chic, ça lui évitera de choisir entre la cigale et la fourmi !
La lumière de ce printemps du vingt et unième siècle a offert d'intéressants points de vue au jardinier dyonisiaque, lui rappelant l'époque lointaine où il pouvait impunément regarder sous les jupes des filles :
Mais n'oublions pas cette fille de l'ombre, Asperula taurina, qui sous ses airs graciles, cache une efficacité de bulldozer : au pied d'une viorne, couvre sol total en une seule année !
Et elle, elle est partie pour tenir jusqu'à l'automne, fidèle au poste même après sa floraison. Encore une fois, le jardin prouve à Germinal qu'il faut de tout pour faire un monde... chic, ça lui évitera de choisir entre la cigale et la fourmi !
1 commentaire:
Sympathique, cette aspérule ! Avec sa cousine des bois, on fait un excellent "vin de mai", breuvage mystérieux qui emplit les esprits de bonne humeur et d'euphorie...
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