Dura lex, sed lex
N'écoutant que sa conscience de scripteur assidu, le jardinier du fond de la vallée de la Juine a donc cherché... et cherché.... et encore cherché quoi dire d'intelligent et /ou de pertinent.... aargh !
Au bout de quelques heures, Germinal a décidé de s'ouvrir à ses visiteurs d'un problème qu'il rencontre de manière récurrente : où loger les nouveaux locataires ?
Parfois, le jardinier au désespoir prend le taureau par les cornes, et fait de la place, manu militari... il en résulte alors une béance, temporaire...
Reste à attendre que tombe un peu d'eau du ciel, et que s'ouvre un créneau de temps de cerveau germinalesque disponible pour qu'elle soit comblée, par les uns ou les autres des prétendants au regroupement jardinier inscrits sur liste d'attente...
... pendant que les anciens locataires, recalés aux tests d'intégration, attendent en zone de transit qu'en haut lieu soit décidé leur sort...
4 commentaires:
"L'évacuation" s'est-elle passée "sans incident" ?
J'ai connu plusieurs jardiniers,dont moi-même,ravis de quitter un précédent jardin souvent réussi,et d'avoir toute la place pour de nouvelles expériences.
Malheureusement,on se retrouve très vite dans la situation de Germinal.
On pourrait toujours tenter de les renvoyer dans leur Morvan d'origine... je pencherais plutôt pour une solution moins radicale, Germinal ayant prouvé par le passé son sens de l'hospitalité aux indigènes comme aux belles étrangères.Je suis sûre que déjà mijotent de nouvelles idées édifiantes. Peut-être un jardin flottant ou à étage ? Et surtout, surtout, une cession de rattrapage pour les pauvres relégués...
Ah non, Madame d. !!! Vous m'avez "grillé" ma question !
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